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Et oui. Désolé mais vous êtes tombés sur une fédération morte. Vous pouvez, par contre, allez sur les fédérations amis que voici : Web Wrestling Association Ultimate Championship Wrestling Fédération de la Grosse Baston Bonne continuation.
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 Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix

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El Dorado
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El Dorado


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PostSubject: Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix   Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix Icon_minitimeTue 8 Feb - 15:37

Dans un bâtiment digne d’un Casino du Strip, l’avenue principale de Las Vegas, l’interviewer Balthazar McGowne marchait d’un pas sûr au milieu d’un hall fastueux sans se montrer impressionné pour un sous. Tout le contraire de son caméraman qui s’attardée devant chaque colonne en marbre sculptée, chaque fontaine recouverte de feuille d’or et chaque dalle de carrelage vénitien, lâchant à chaque fois un hululement ébahit. Après avoir été remis à l’ordre, le technicien suivit le journaliste écossais dans un ascenseur grand luxe. A la porte de celui-ci, un groom en costume traditionnel rouge demanda leur étage aux reporters :

« Nous venons voir Monsieur El Dorado. » Indiqua fermement Balthazar.

Une fois l’interviewer et son caméraman en place dans l’ascenseur, le groom appuya sur un bouton. Les portes se fermèrent alors et une musique prit place en fond. Le technicien reconnu tout de suite l’air joué comme étant le célébrissime Viva Las Vegas d’Elvis Presley. Prit dans le rythme, il commença à danser discrètement, jusqu’à ce que Balthazar ne le foudroie du regard. L’ascenseur arriva rapidement à destination et il s’ouvrit une un vaste couloir. Les deux hommes suivirent le groom jusqu’à la chambre 510. Il frappa ensuite à la porte et l’ouvrit, faisant découvrir aux journalistes une pièce gigantesque et richement décorée. Devant une baie vitrée donnant sur la ville, se trouvait un bureau en bois massif sur lequel était assis un homme en costume blanc, chemise bleue ciel et humant un cigare avec méthode. Soudain, il aperçu l’interviewer et lui fit d’entrer avec un grand sourire. Il partit ensuite à sa rencontre en lui tendant la main :

« Je vous attendez chers amis, bienvenu dans mon modeste logement. »

« Vous êtes Monsieur El Dorado ? »Demanda le journaliste en serrant la main de son interlocuteur. « Moi, je suis Balthazar McGowne, merci de nous recevoir. »

« Mais je vous en pris, appelez-moi Chef, Boss, Patron ou même Maître comme le dise les sadomasochistes. »

L’interviewer sembla s’offusquer :

« Vous n’êtes pas mon employeur, monsieur Dorado. »

« Pas pour le moment, mais ça ne saurait tarder. »

« Que voulez-vous dire ? »

Toujours souriant, The Player se tourna et regarda en direction de la grande baie vitrée en déclarant :

« Allons droit au but, Balt. Vous avez sûrement lu mon dossier et vous savez donc que, si j’ai signé à Blooding Wrestling Society, c’est pour en prendre le contrôle. »

« En effet, je me doutais que vous alliez dire quelque chose dans le genre, mais je ne vous pensez pas aussi avide d’argent, de reconnaissance et de pouvoir. »

« Ne dites pas n’importe quoi ! » Répliqua le lutteur de Vegas. « Ce n’est pas les maigres économies d’une fédération débutante que je pourrais le loyer de cette chambre, donc pour l’argent, vous repasserez. Quand à la reconnaissance, elle m’est inutile. Après tout, je sais déjà que je suis pétri de talent et regardez-moi ce flawless physic ! A quoi bon, chercher une renommée que je possède déjà ? Quant au pouvoir, je dirige déjà l’un des plus grand Casino de Las Vegas et ça me suffit. »

« Mais alors ? Pourquoi voulez-vous prendre le contrôle de la BWS ? »

« Pour m’amuser, bien sûr ! »

El Dorado fit alors un large sourire à ses interlocuteurs. Cependant, devant leurs mines interrogatrices, The Player crut bon de s’expliquer :

« Vous voyez, il y a deux choses que j’ai toujours aimé : la lutte et prendre aux autres ce qui leur appartient. J’adore me servir des brèches d’un système pour en prendre possession. Certains disent que je verse carrément dans l’illégalité et l’arnaque, pourtant, même si ça rend fier que les gens pensent ça de moi, ça n’a jamais été prouvé. J’ai donc mit au point un plan infaillible pour prendre le contrôle de la BWS.»

« Et quel est votre plan ? »

« D’abord, je gagne les différentes ceintures de champions. Que voulez-vous, l’or me va si bien. Ensuite, je me fais le plus d’argent possible sur le dos des dirigeants. Enfin, je deviens moi-même un dirigeant. Oh mon dieu, quel génie ! J’ai décidément était touché par la grâce ! »

Tout en fixant le ciel d’un air inspiré, Dorado tapa la paume de sa main droite sur son torse, à l’emplacement de son cœur. De son côté, Balthazar poussa un soupir :

« Et vous avez un message à faire passer aux ainsi qu’aux autres lutteurs de la fédération ? »

« Évidemment ! »

Le lutteur de las Vegas se tourna alors vers la caméra, prit le micro de l’interviewer et déclara :

« Tout d’abord chers fans, soyez de bon petits moutons sans cervelles et soutenez cette fédération. En effet, plus vous serez nombreux et plus je se ravi de voir la déception sur vos visage quand j’en prendrai le contrôle. Quant à vous, chers collègues. Si vous avez le malheur de me faire face dans un ring, munissez-vous d’une coquille, d’une paire de lunettes et n’oubliez pas d’assurer votre colonne vertébrale. Car, entre mes mains, votre dos risque de bien plus fragile que ne l’imaginez ! »

Dorado montra son cigare à la caméra et le brisa avec ses doigts. Il fixa l’objectif encore quelques instants avant de rendre son micro à l’interviewer. Tout à coup, il s’écria :

« VIVA LAS VEGAS !!!! »

Il posa ensuite sa main sur la caméra, mettant fin à la promo.
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PostSubject: Re: Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix   Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix Icon_minitimeFri 18 Feb - 20:53

Nous revoici dans la suite luxueuse d'El Dorado. Assis dans un fauteuil en cuire rouge cousu de fils d'or, The Player regardait à travers l'immense baie vitrée de son bureau avec un air pensif. Et, comme chaque fois qu'il pensait à une nouvelle magouille, un sourie malsain se dessinait sur son visage. Soudain, un bruit de porte se fit entendre, laissant apparaître l'un des interviewers de la BWS, Balthazar McGowne. Il était accompagné de deux hommes en costumes, lunettes et oreillettes noirs. L'écossais s'avança vers Dorado d'un air furibond. Il stoppa à deux mètres du Player et gronda :

"Qu'est ce qui vous prendre El Dorado ?! Vous vous prenez pour qui à envoyer vos sbires me chercher et à me ramener ici ?!"

"Je vous l'ai pourtant déjà dit."
Répondit tranquillement l'intéressé en faisant pivoter son siège. "Je me prend pour votre futur patron. Donc, quand j'ai besoin que vous veniez m'interviewer, je vous fait demandé."

"Si vous croyez que vais vous interroger après la façon dont vous m'avez traité !"

"Oh, mais vous allez le faire. Votre conscience de journaliste est trop forte pour que vous laissiez passer une telle occasion. Ne vous en faites pas, je vous laisserez frapper l'un des deux messieurs qui vont amené ici, si vous le voulez, bien entendu."

"Je ne me laisserai pas corrompre par vous Dorado. Mais vous avez raison, quand vous dites que ma conscience me pousse à vous interviewer."
Balthazar eut alors un petit sourire. "Alors, El Dorado, qu'elles sont vos impressions après votre défaite lors du premier Implosion ?"

S'attendant à voir le lutteur du Nevada partir dans une colère folle, Balthazar fut étonné de le voir lui rendre son sourire. The Backstabbing Master se leva alors et se dirigea vers son large bureau en chêne. Il ouvrit une boîte richement décorée qui diffusa une légère mélodie dans la pièce. Le journaliste la reconnue tout de suite. Il s'agissait de Viva las Vegas d'Elvis Presley. Dorado sortit un cigare de la boîte, la referma et finit par répondre :

"De quel défaite parlez-vous Balthy ?"

"Il n'y en a pas trente six milles. Je parle de celle de mardi dernier, contre Ben-J Torstin !"

"Ah l'adorateur d'un dieu de pacotille..."

"Je ne peux pas vous laisser dire ça !" Protesta vigoureusement l'interviewer.

"Calmez-vous Balthy, vous allez faire une attaque. Je disais dieu de pacotille car, pour moi, il n'existe qu'un seul et vrai Dieu : Bernard Madoff ! Une divinité capable d'arnaquer n'importe qui, de troufion de base à la star de cinéma, et qui détourner plus de cinquante milliards de dollars ! Cinquante Milliards ! Seul un dieu peut avoir un tel degrés de manipulation !"

Dorado leva alors les yeux au ciel. Puis, il tapa plusieurs fois sur sa poitrine, à l'emplacement du cœur, avec sa main et en déclarant :

"T'en fais pas Bernie. Nous sommes avec toi."

"Pfff..." Soupira Balthazar. "Quoiqu'il en soit, pourriez-vous répondre à ma question concernant votre défaite contre Ben-J Torstin lors du dernier Implosion ?"

"Voyons Balt', vous savez tout comme moi que je n'ai pas perdu mardi dernier."

"Comment ?"

"Non, j'ai été volé par ce pantin de Bilal Asil. Il est clair que son patron est effrayé par moi et par mon ambition. Il a donc chargé son GM chéri de me mettre des bâtons dans les roues en me sortant du tournoi pour titre mondial."

"Vous dites n'importe quoi. Bilal Asil est intègre et fait un travail exemplaire."

"Vous êtes plus naïf que je pensais Balt'. Même si ça n'a jamais été prouvé, j'ai assez d'expérience en matière de magouilles pour voir une arnaque à cinquante kilomètres. Bilal ne voulait pas que je devienne le premier champion de la BWS et il aurait tout fait pour me voir perdre. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai volontairement laissé Benji le cierge gagner."

"Comment !" S'étonna l'interviewer. "Vous avez laisser Ben-J gagner ?"

"Évidemment, je savais que si je m'y mettais à fond contre lui, non seulement je lui aurait cassé le dos aussi facilement qu'un vitrail, mais en plus, le GM aurait trouvé une autre parade pour me sortir du tournoi. J'ai donc préféré procéder à un replis stratégique en m'éliminant moi-même du tournoi...pour le moment."

"Pour le moment ? Ne me dites pas que vous comptez vous venger de monsieur Asil en sabotant le tournoi ?"

El Dorado se mit alors à ricaner :

"La vengeance ? Je n'ai pas envie de me venger de Bilal. Pour vouloir se venger, il faut être en colère contre lui et ce n'est pas mon cas. Pour moi, Bilal a démarré un jeu que j'adore. Un jeu fait d'arnaque, de manipulation et de coup bas. Un jeu dont je suis le meilleur joueur et, maintenant, c'est à mon tour de poser mes pions ! "

"Que comptez-vous faire, alors ?"

"Vous le verrez bientôt. Mais je peux d'ors et déjà vous assurer que notre cher GM va en voir des vertes et des pas mûres. Je peux aussi vous dire que lui, ainsi que tous les guignols qu'il mettra sur mon chemin vers les titres et le contrôle de fédération, risquent fortement de s'y casser le dos, aussi facilement que ça !"

El Dorado montra son cigare à la caméra et le prisa en deux entres ses doigts. Il fit signe à ses sbires de raccompagner Balthazar qui refusa sèchement l'offre du Player et quitta la pièce seul. Dorado sourit, regarda de nouveau vers la grande baie vitrée et conclu l'entretient en déclarant :

"VIVA LAS VEGAS !!"
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PostSubject: Re: Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix   Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix Icon_minitimeSun 27 Feb - 19:20

Une caméra s'alluma de nouveau dans la luxueuse suite du Player, El Dorado. Assis sur un fauteuil en cuir doré, il regardait la ville de Lyon s'illuminer de milles feux depuis sa large baie vitrée. Un cigare à la main, le lutteur de Las Vegas se sentait d'humeur au monologue. De dernier avait déjà commencé depuis un petit moment quand Balthazar McGowne surgit dans la pièce principale de la suite, accompagné d'un homme en costard à la carrure de cinq armoire à glaces du dix-huitième siècles. Malgré son arrivée pour le moins bruyante, l'interviewer de la BWS n'interrompit pas Le Joueur prit dans une enflammée sur certains membres du roster de la fédération lyonnaise :

"Hypocrisie ! Voilà comment je qualifie tous ses guignols de la BWS. Entre Nelson Oliveira qui la joue grand compétiteur alors qu'il a passé sa vie à multiplier les coups en douce pou forcer des gens à se droguer et à mourir pour se faire de l'argent, ou encore Ben-J "mouton" Torstin, qui, d'un côté, dénigre les drogues tandis que, de l'autre, il rend un pauvre gamin accrocs à la pire drogue de l'histoire de l'humanité, la religion. Et j'ose à peine parler de Matthew Duke ou de Bilal Asil. Enfin, heureusement il y a aussi de bons gars, comme Hoguera, Chris Six ou Jack Thompson..."


"Évidemment, les types biens sont ceux qui font deux fois votre taille." Finit par lâcher le journaliste. "En fin de compte, n'êtes vous pas le plus hypocrite de tous, El Dorado ?"

The Backstabbing Master se retourna alors, dévisageant Balthazar d'un air grave. Puis, étrangement, il se mit à sourire et répondit :

"Bien sûr que je suis un hypocrite ! Un lâche ! Un enfoiré ! Un magouilleur ! Seulement, mon cher Balt', contrairement à ses gens soit-disant "bien pensant" qui représentent la BWS, j'assume ce que je suis. Mieux encore ! J'en suis fier ! Je suis fier d'avoir, lors du dernier Implosion, aidé Toxiic Punk et John Belfalàs de faire un peu de commerce entre eux en leur prenant un belle somme au passage. Y a pas à dire mais, vive les junkies et les simples d'esprits !"

El Dorado regarda alors le ciel et se tapa la poitrine à plusieurs reprises avec la main. De son côté, l'interviewer eut une grimace de dégoût avant de reprendre :

"Quoi qu'il en soit, avez-vous une idée de ce que Bilal Asil vous a préparé ainsi qu'aux autres éliminés du tournoi pour le titre mondial ce mardi ? Et évitez de répondre en m'appelant Balt'."

"Pourquoi je ne pourrai pas vous appeler Balt' ?"

"Parce que vous n'avez pas le droit !" S'écria l'interviewer.

"Je n'ai pas le droit ? Voyons ça avec mon avocat voulez-vous ?"

"Votre avocat."

D'un geste de la main Dorado désigna une personne derrière Balthazar. Ce dernier se retourna, découvrant avec stupeur que son interlocuteur était le mastodonte qui l'avait accompagné jusqu'à la suite. Le bestiaux s'avança jusqu'au bureau du Joueur et laissa son patron faire les présentation :

"Balthazar McGowne, voici mon avocat, Washington Georges."

"Attendez, ne me dites pas que...?"

"Je suis sorti premier de ma promotion à Harvard." Interrompit l'armoire à glace. "Et si je puis me permettre, monsieur Gowne. Le surnom de Balt' n'a pas été déposé, mon client est donc libre de vous appeler ainsi s'il le souhaite."

Devant la mine ébahit de l'interviewer, Dorado sourit :

"Comme quoi, on peut être bourré de stéroïdes et en avoir dans le crâne."

"Désolé de vous contredire monsieur, mais le fait que je prenne des stéroïdes n'a jamais été prouvé."

"Vous avez raison. Par contre, Washington, je vous serai reconnaissant de plus utiliser ma catchphrase sans mon autorisation."

"Navré de vous contredire monsieur Dorado, mais votre catchphrase n'a pas été dépose, au même titre que le surnom de monsieur Gowne."

"C'est là que vous vous trompé."

The Player ouvrit alors un tiroir de son bureau et sorti un document qu'il tendit à son avocat :

"Vous avez déposé cette phrase ?"

"Et plus de cinq de ses variantes, comme ça le premier idiot de la BWS qui l'utilisera sans ma permission me devra des sous. n'est ce pas génial ?"

"Sûrement." S'agaça Balthazar."Pourrions-nous revenir au sujet de ma venu, à savoir, la surprise que vous à prévu Bilal Asil pour le prochain Implosion ?"

"Il n'y a pas grand chose à dire Balt', si ce n'est que je sais déjà quoi on aura droit."

"Ah bon ?"

"De l'amusement, de la violence gratuite, de l'argent et pleins de dos complètement brisés par votre serviteur !"

Sur ces mots, Dorado brisa son cigare en morceau avant de le jeter en l'air en criant :

"Et VIVA LAS VEGAS !!!"

La caméra se coupa ensuite sur une image d'un lutteur tout sourire alors que son thème song résonne dans la pièce.
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PostSubject: Re: Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix   Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix Icon_minitimeSun 13 Mar - 18:12

Debout dans un ascenseur luxueux, l'interviewer au caractère bien trempé de la BWS, Balthazar McGowne, souriait. Il semblait d'excellente humeur, se dandinant presque sur l'air de musique diffusé dans la cabine, une célèbre reprise de Viva Las Vegas par les ZZ Top. Après quelques instants, l'ascenseur stoppa sa course et s'ouvrit sur un couloir. Le journaliste l'arpenta jusqu'à arrive à une porte qu'il ouvrit sans autres cérémonies. Il entra ainsi dans une grande pièce richement décorée et en partie éclairée par les lumières de la ville traversant une large bée vitrée. Au bout de la salle, deux hommes travaillaient sur un large bureau. Il s'agissait d'un lutteur de la BWS, El Dorado, et de son avocat bodybuildé, Washington Georges. Ils étaient entrain d'examiner plusieurs dossiers posé sur le bureau et ne semblez pas avoir remarqué le journaliste. Ce dernier approcha donc en écoutant la conversation entre les deux hommes :

"Et pour celui-ci, monsieur ? Will Innocent." Dit l'avocat.

"Laissez-moi réfléchir..." Répondit Dorado en se frottant le bouc. "Je sais, vous n'avez qu'à aller dîner avec lui."

"Désolé monsieur, mais il n'est pas stipulé dans mon contrat que je dois sortir avec des arbitres du même sexe pour vous."

"Et bien offrez-lui un voyage à San Franscico alors."

"Très bien. Par contre, il m'est tout à fait possible de dîner avec cette demoiselle, Ashley Bubby."

Georges tandis le dossier à Dorado qui se mit à baver avant de reprendre plus sérieusement :

"Non, offrez-lui un séjour chirurgie plastique avec le Docteur Nick. Je suis sûr que ça lui plaira de devenir encore plus belle dans les mains d'un médecin aussi compétent."

En écoutant The Backstabbing Master, le sourire sur le visage de Baltazar disparu. Il était rouge de colère et le fit savoir en criant avec véhémence :

"Dorado ! Ne me dites pas que vous fomenter un plan pour corrompre les arbitre de la BWS ?!"

Sur ces mots, les deux hommes sursautèrent, faisant voler plusieurs dossiers par terre. Quand The Player reconnu l'interviewer, il souffla avant de répliquer :

"Alors de un, je ne suis pas entrain d'essayer de corrompre qui que ce soit, mais j'aide juste mon avocat à choisir des cadeaux afin qu'il puisse montrer son amour pour le corps arbitral de la fédération. Car oui, Washington aime les arbitre."

"Je l'aurais sûrement été, si je n'avais pas fini major de promo à Harvard." Ajouta l'intéressé.

"Et de deux, même si ce n'est pas le cas, je ne vois pas en quoi ça vous choc que je puisse avoir recours à des supposés actes de corruption. Je suis le grand El Dorado, bon sang ! Et puis même si je n'étais pas moi - qu'est ce que je serai malheureux au passage - vous voyez un autre moyen pour moi de gagner le Dual Squad Championship au prochain PPV ?!"

"Oui, en agissant de concert avec Nelson Olivieira."

El Dorado se mit alors à rire. il se laissa tombé dans son fauteuil et sorti un cigare de la poche intérieur de son costume en déclarant :

"Nelson Olivieira ? Cet hypocrite sans talent. Comment voulez-vous avoir une équipe soudé avec un homme aussi vil que lui ?"

"Cet "hypocrite sans talent", comme vous dites si bien, vous a battu au dernier Implosion..."

"Non." Interrompit Dorado. "Je l'ai laissé gagner, nuance. Après le coup monté de la direction qui a voulue que je me batte un jour où je n'étais pas supposé le faire, je n'étais pas totalement prêt et je ne pouvais pas risquer de me blesser avant le PPV. Alors, quand j'ai vu que la stupidité du Baron de pacotille allait nous entraîner dans un combat long et épuisant, j'ai préféré le laisser gagner. Ainsi, il pourra se masturber dans son coin en se croyant plus fort que moi."

"Vous êtes d'une mauvaise foi."

"Non, Ben-J Torstin a une mauvaise foi et Steve Fitzgerald a un mauvais foie. Moi, je tourne juste les faits à mon avantage. Chose que je compte bien répéter à Night of Glory !"

"Ah oui ? Et comment allez vous faire face à une vraie équipe comme Toxic Fear sans accorder vos violons avec votre équipier ?"

"En profitant des faits suivant : La taille du nain de jardin chauve, l'esprit complètement aux fraises de son partenaire junkie et la soit-disante envie de compétition d'Olivieira. Bien sûr, pour une personne aussi rigide que vous, ces trois faits ne peuvent pas être compatible avec ma victoire, mais pour un cerveau retord que le miens, ces trois éléments forment un cocktail qui fera de moi le tout PREMIER DUAL SQUAD CHAMPION ! Eh, je suis un génie !"

Tout en regardant le ciel, Dorado se frappa le torse à plus sieurs reprises. De son côté, Balthazar soupira avant de reprendre :

"Si je comprend bien, vous n'allez pas vous entraîner pour le PPV ?"

"Bien sûr que si, car, voyez-vous, même pour attaquer quelqu'un dans le dos, il faut de l'entraînement. Donc, Toxic Fear, si j'étais vous, je me servirai des sac d'herbes magiques du petit Punk comme coquille pour vos bijoux de familles, comme protection pour vos yeux et comme colonne vertébrale. Sinon, il sera trop facile pour moi de vous briser le dos !"

D'une main, Dorado brisa son cigare en deux et conclu l'interview avec le sourire en criant :

"Et VIVA LAS VEGAS !!!"
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PostSubject: Re: Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix   Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix Icon_minitimeFri 18 Mar - 15:05

La caméra s'alluma une nouvelle fois sur l'interviewer Balthazar McGowne dans...attendez une minute...mais il n'était pas dans l'ascenseur d'un grand hôtel menant à une suite luxueuse, mais dans la rue. Il se frayait un chemin parmi les passants avec une grande facilité, utilisant son air sévère pour s'ouvrir le passage le long d'un trottoir. De temps en temps, il jetait un coup d'œil à son Blackberry avant de regarder les maisons alentour. Au bout de quelques instants, il stoppa son avancée devant la boutique d'un tailleur. A en jugé par la richesse des tissus et la perfection des tailles de costumes présents en vitrine, il devait s'agir d'une enseigne renommée. Le journaliste lança un nouveau coup d'œil à son Blackberry, soupira et entra dans le commerce. Il découvrit alors au fond du magasin, deux hommes. Le premier, une personne d'un certaine âge portant des vêtements parfaitement pliés dans ses mains. Le second, que Balthazar reconnu tout de suite, était habillé en costume blanc et était entrain de faire le beau devant un grand miroir. Il s'agissait de la moitié des nouveaux champions Dual Squad de la BWS, The Player, El Dorado. Avec un large sourire aux lèvres, il était parti dans un monologue devant le vieil homme :

"Vous voyez Giuseppe, manipuler les gens n'est si compliqué. C'est très facile, même. Regardez, par exemple, mon cher partenaire par équipe. Il m'a suffit de lui laisser gagner notre confrontation pour pouvoir l'utiliser comme une simple marionnette. Son égo a tellement gonflé avec cette victoire et il se croit tellement plus fort que moi qu'il est ravi de servir de punching-ball face à nos adversaires. Après, je n'ai juste qu'à lui faire croire à un semblant de cohésion de temps en temps pour assouvir mon contrôle sur lui sans qu'il ne s'en rende compte. C'est presque aussi facile que de manipuler un junkie qui sera bientôt en manque comme Toxiic Punk. Par contre, mes biceps sont un peu à l'étroit dans cette veste, il faudra que vous me modifiez ça."

Dorado retira alors l'habit incriminé et la jeta sur le vieil homme. Ce dernier la ramassa avant de tendre une autre veste à son client. Devant une telle scène, Balthazar semblait indigné. Il le fit savoir d'un grondement qui résonna dans toute la boutique :

"Vous n'êtes qu'une ordure El Dorado !"

L'intéressé se tourna alors vers l'interview d'un air surpris. Il enfila la veste et dit :

"Désolé Balth', mais j'ai fait taillé ses costumes pour qu'ils aillent avec ma toute nouvelle ceinture. Je ne vois pas en quoi augmenter ma classe naturelle fait de moi une ordure."

"Ce n'est pas ça que je parle ! Mais de la façon dont vous traitez Nelson Oliveira, votre propre coéquipier ! N'avez-vous donc rien entendu de ce qu'il a déclaré récemment ?!"

"Si et ?" Répondit Dorado en regardant le miroir.

"Et vous n'avez pas compris que vous devez agir en équipe au lieu d'agir comme un enfoiré de première ?!"

Malgré la colère du journaliste, Dorado était complètement désintéressé, admirant simplement son nouveau costume. Il resta silencieux quelques secondes avant de faire un signe à Giuseppe. Ce dernier alluma un vieux tourne disque, diffusant en fond sonore la fameuse chanson de Elvis Presley, Viva Las Vegas. Tout en se dandinant sur le rythme de la musique, The Player s'approcha de Balthazar et finit par dire :

"En fait, ce sont Nelson et vous qui n'avais toujours rien compris. Même si ça n'a jamais été prouvé par la justice, je suis un enfoiré de première ! Le roi de l'arnaque ! L'empereur des coups bas ! The Backstabbing Master ! Et j'en suis fier ! Je ne vois donc pas pourquoi je devrai faire les choses d'une autre manière que celle que j'aime."

"Comme l'a dit Nelson, pour ressortir grandit de cette aventure."

"Mais, quoi qu'il arrive, je ressortirai grandit de cette aventure, comme vous dites si bien. Après tout, ne suis-je pas le tout premier Champion Dual Squad de l'histoire de la BWS ? Encore, mieux, ne suis-je pas le premier Champion couronné de l'histoire de la BWS ? bref, n'ai-je pas montré au roster tout entier que leur futur patron est, comme dirait la plus grande légende vivante de notre industrie, le meilleur au monde dans ce qu'il fait ?"

Dorado regarda alors vers le ciel et tapa plusieurs fois son torse de la paume de la main. Pendant ce temps, Balthazar poussa un soupir désapprobateur avant de reprendre :

"Je doute que Nelson apprécie votre façon de penser."

"Je me fiche de ce qu'il pense. Il est mon outil maintenant. Mon porte ceinture jetable. Une marionnette que je vais façonné afin de refaire de lui le vrai chef de cartel, le vrai tueur qu'il n'aurait jamais cessé d'être au lieu de devenir le plus hypocrite des lutteurs de cette fédération."

"Jamais ! Il est du bon côté."

"Vous croyez vraiment ? Il suffit de voir sa dernière promo pour se rendre compte qu'il est entrain de suivre mon chemin. Avec ses "Mon moment", "je dégage de l'assurance et de l'autorité", "J'ai fait le Main-Event du premier Implosion". Sans parler qu'au lieu de respecter Toxic Fear, ce qu'un hypocrite dans son genre devrait normalement faire, il les a traité d'équipe bas de gamme. En même temps, en voyant cette équipe composée d'un nain de jardin dont le mentor n'a gagné aucun titre mondial sur les vingt-mille fédérations où il est allé et d'une drag-queen shootée aux champis euh...anciennement shooté aux champis...je trouve qu'il a été gentil avec eux."

Dorado se tourna alors face à la caméra. Il fit son plus beau sourire, prit un cigare dans une boîte sur le comptoir du magasin et reprit :

"Nelson, comme tu l'as sûrement comprit, je ne jouerai pas ton jeu. The Player joue toujours selon ses propres règles...quand il y en a. Mais tu vois, j'ai été honnête avec toi. Maintenant, ton égo, ma propension à mentir et la crédibilité de tes menaces pourrait te pousser à ne pas croire un mot de mon petit discours, ce qui m'arrange aussi. Le choix est tiens. Soit tu penses que je te manipule et tu tentes de te défaire. Soit tu crois que ce n'est que du vent et que c'est toi le taulier de notre équipe. Dans tout les cas, je peux te garantir une chose, il y aura des dos brisés !"

D'une main, El Dorado cassa le cigare en deux avant de faire signe à Giuseppe de monter le son de la musique de fond. Quand le refrain commença, The Player chanta par dessus :

"Et VIVA LAS VEGAS !!!"
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PostSubject: Re: Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix   Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix Icon_minitimeFri 25 Mar - 14:21

Encore une fois, Balthazar McGowne, l'interviewer incorruptible de la BWS, se retrouva devant la porte d'une suite d'un grand hôtel. Il l'ouvrit brusquement, entrant ainsi dans une pièce richement décorée. Au fond de la salle, devant une baie vitrée donnant sur la ville, un homme en costume était assis sur un bureau en chêne massif. Sa carrure d'armoire à glace et ses cheveux blonds ne laissait planer aucun doute dans l'esprit du journaliste. Il s'agissait de Washington Georges. L'avocat essayait de travailler sur des dossiers alors qu'un bruit redondant résonné partout dans la pièce. Balthazar reconnu alors ce son comme étant un rire, mais pas n'importe lequel. D'un pas décidé, l'interviewer se dirigea vers le bureau et fit connaître sa présence au major de promo d'Harvard :

"Où est El Dorado ?"

"Ah !" Sursauta la montagne de muscle. "C'est vous monsieur McGowne ? Vous avez failli me faire avoir une crise cardiaque. Je devrais vous poursuivre pour tentative de meurtre."

"Vos problème de cœur sont plus liés aux produits que vous vous mettez dans corps."

"C'est de la diffamation ! Suite au procès, le fait que je me sois dopé n'a..."

"Jamais été prouvé, je sais." Interrompit le reporter. "Dites-moi où se trouve Dorado."

"Suivez les rires."

En replongeant dans ses dossiers, Washington montra une direction du doigt. Le journaliste suivit les indications et se mit en route. Il traversa l'immense pièce jusqu'à arriver devant un sofa en peau de zèbre. Le rire venait de cet endroit et était apparemment dû au programme qui passait sur l'écran plasma gigantesque situé devant le canapé. L'interviewer remarqua alors le haut d'un chapeau caché derrière le dossier. Pas de doutes, The Player, El Dorado était bien là. Balthazar se racla bruyamment la gorge pour attirer l'attention du lutteur. Il du s'y reprendre à plusieurs fois avant de déclarer :

"Dorado ! J'ai des question à vous poser."

L'intéressé se leva alors de son sofa, dévoilant son costume blanc et, surtout, sa ceinture de Dual Squad Champion posé sur son épaule. Il changea alors la chaîne de sa télé, passant sur une émission musicale où passait la célèbre chanson, Viva Las Vegas, d'Elvis Presley. Toujours en riant à gorge déployée, il se tourna vers l'interviewer :

"Ha ! Ha ! Ha ! Bien le bonjour Balt'. Vous me devez de l'argent pour avoir utiliser ma Catchphrase !"

"Je peux savoir ce qui vous fait rire comme ça ?"

"Pas grand chose."
Répondit The Player en se calmant un peu. "Juste la promo de Toxiic Punk et la vidéo d'un fan de Toxic Fear. Ces gars-là sont tout simplement hilarant."

"J'avoue que la vidéo de Punk peut faire sourire, mais il semble décidé à vous à démolir."

"C'est justement ça qui marrant. La Drag queen a beau avoir arrêté les herbes magiques, son cerveau est tellement ravagé que...attendez une seconde."

El Dorado regarda alors le ciel et se tapa plusieurs fois le torse en disant :

"Je suis décidément l'empereur des jeux de mots ! Quel génie !"

"Vous disiez à propos du cerveau de Punk ?" Demanda Balthazar, n'ayant visiblement pas comprit où été le jeu de mots.

"Son cerveau est tellement déglingué qu'il pense pouvoir gagner les titres en s'attaquant à moi ! Hahaha ! Il n'a pas comprit que, même avec son pote nain de jardin à ses côtés, il n'a pas un dixième de mon vice et de mon talent ! S'il veut avoir ne serait-ce qu'une chance d'espérer flirter avec les titres par équipes, il ferait mieux de s'en prendre au plus débile d'entre nous, Nelson Oliveira. Et encore, même ce meurtrier hypocrite a plus de talent que Toxic Fear."

"Je vous trouve très dur avec Toxic Fear, ils n'ont pas démérité lors de vos affrontements."

"Arrêtez de dire des conneries Balt'. Si vous voulez avoir un aperçu du faible niveau de cette équipe, il suffit de regarder la vidéo d'un de leur fan. Un petit gars chauve qui me traite de suceur de Direction parce que j'ai prit légalement un titre des mains de son équipe favorite. Bon, je peux lui pardonner parce qu'il ne suit pas la BWS. Sinon, il saurait que mon grand objectif, que tout vrai suiveur de la BWS connait, c'est de prendre le contrôle de la fédération et de ruiner son propriétaire. C'est seulement l'autre hypocrite de colombien qui aime le goût du cuir des semelles d'Asil et de O'Connor"

"Attendez une minute ! Mais ce n'est pas la vidéo d'un fan de Toxic Fear dont vous me parlez. Le petit chauve qui vous traites de suceur, c'est Azen !"

The Player sembla complètement étonné par la nouvelle :

"Ah bon ?! Il sait parlé lui ? Je croyez qu'il n'était bon qu'à se faire tabassé par moi ! Hahaha !"

"Vous trouvez ça drôle de vous moquer d'un féroce compétiteur comme lui ? Il mérite ce titre plus que vous !"

"Faux ! Et j'ai plusieurs fait qui le prouve. Le premier c'est que, deux fois de suite, Je les ai battu, humilié, détruit ! Avec mon outil colombien, nous sommes invaincu en tag team. Au cas où vous n'auriez pas compris Toxic Fear, invaincu, ça veut dire que personne ne nous a rivé les épaules au sol depuis le début de notre association."

"Peut être, mais Toxic Fear se casse le cul à s'entraîner en indy pour vous battre."

El Dorado éclata de rire à nouveau :

"Hahaha ! Voilà encore un autre fait qui prouve leur stupidité. Qu'est ce qu'il gagne à faire le tour du monde pour bomber le torse devant dix personnes ? Rien, si ce n'est de l'épuisement. La fatigue des voyages, des décalages horaires, voilà ce qui les affaibli. Déjà qu'en pleine forme ils ne valent pas grand chose, alors après seize heures de vols, c'est du coq au vin pour un poivrot !"

"Ils font ça pour les fans de ce business !" Défendit Balthazar.

"Des fans ivrognes, obèses et débiles qui les oublieront au bout de trois mois. Remarquez c'est bien le genre de connerie que ferait Azen...à moins qu'il soit tellement pauvre qu'il soit obligé d'accepter tous types de boulot pour subvenir aux besoins de son handicapé de mentor. Ça serait logique, peu de gens ont le même sens des affaires que Nelson ou moi...même si moi je n'ai jamais tué personne pour devenir riche."

"Tiens, c'est drôle, pendant un instant j'ai cru que vous alliez faire un compliment à votre Dual Squad partner."

The Player profita de la remarque de l'interviewer pour sortir un cigare de la poche intérieur de son costume. Il huma son délicat fumé et finit par rectifier :

"Ma marionnette, pas mon partenaire. Je vous rappel que je manipule comme je veux. Regardez Mardi dernier, j'ai juste eut à titiller son égo sur dimensionné et son sens de l'honneur pour qu'il soit ravit de faire presque tout le boulot durant le match. En plus, comme je lui ait laissé faire le tombé, il est encore plus fier et se croit toujours plus fort que moi. Ainsi, lors de notre prochaine rencontre avec Toxic Fear, il fera encore plus de boulot, se fera encore plus taper dessus, le tout avec un sourire encore plus grand. Comme je vous l'ait déjà dit, il est a ma merci et ne s'en rend même pas compte."

"Je vois que même si vous les traitez de débiles, vous vous attendez à ce que Toxic Fear vous rencontre à nouveau."

"Qui d'autre, sinon ? Les WoW ? Remarquez, s'il y avait un matchs entre Toxic Fear et WoW, les geeks pourraient l'emporter. Si j'étais Toxic Fear, je prierai pour qu'aucune autre tag team ne fasse son apparition d'ici le prochain PPV, sinon, avec leur niveau actuel, ilsn'auront plus une chance de voir les titres Dual Squad. Enfin, de toute manière, que ça soit eux ou d'autres, il ferait bien d'assurer leurs vertèbres. C'est que c'est fragile ces trucs là."

Sur ces mots, Dorado fit face à la caméra et brisa le cigare en deux. Ils e tourna ensuite vers Balthalzar en tendant sa main. L'interviewer ne comprit pas ce geste :

"Que me voulez-vous encore ?"

"L'argent pour le copyright de ma catchphrase. Vous ne voulez pas avoir un procès pour plagiat sur le dos, n'est ce pas ?"

"Tsss...escroc."

"Merci du compliment !"

Tout en soupirant, le journaliste sorti un billet de sa poche et le posa dans la main du Player qui lança avec un grand sourire :

"Et VIVA LAS VEGAS !"
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PostSubject: Re: Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix   Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix Icon_minitimeFri 1 Apr - 16:06

Debout devant la porte d'une suite d'un grand hôtel, Balthazar McGowne, interviewer à la BWS, semblait d'assez bonne humeur. Un large sourire s'affichait sur son visage tandis qu'il entrait dans une pièce luxueuse éclairée par un ciel bleu à travers une gigantesque baie vitrée. Au fond de la salle, Balthazar et son caméraman voyait deux hommes près d'un magnifique bureau en bois sculpté. Le premier, un bodybuilder en costume et à la chevelure aussi blonde que les blés, était debout et regardait le second, un homme en costume blanc assis et parlant au téléphone. Il s'agissait du champion Dual Squad de la BWS, El Dorado, et de son avocat, Washington Georges. D'un pas décidé, le journaliste s'approcha d'eux et voulu prendre la parole. Cependant, l'armoire à glace l'en empêcha. Il lui fit signe d'attendre que The Player finisse sa conversation téléphonique :

"Très bien...Mais je vous en prie, allez vérifier...Puisque je vous dit que c'est lui qui me l'as dit, c'est mon tag team partner, après tout. Pourquoi me mentirait-il ?...Très bien, rappelez-moi une fois que vous aurez vérifier...oui, c'est ça à toute à l'heure."

Dorado stoppa la communication, prit un air concerné et jeta son portable à Washington. Ce dernier rattrapa son iPhone avec dextérité pendant que Balthazar prit la parole avec amusement :

"Alors Dorado, on cherche à savoir si Nelson n'a pas abusé de sa maman ?"

"Oh, ça vous fait rire, n'est ce pas ?" Répondit l'intéressé." Moi qui vous croyez un peu plus malin que la moyenne, je me suis trompé. Vous ne valez pas mieux que tous ces moutons débiles qui servent de fans à la BWS."

"Et pourquoi ça ? Parce que j'ai aimé voir Nelson vous humilier en publique ?"

"Non, sombre idiot ! Parce que vous applaudissez un meurtrier sanguinaire ! Et oui, au cas où vous ne vous en rappeliez pas, votre héros qui fait des misères au méchant Dorado est un ancien parrain de la drogue en Colombie. Il a tué plus d'innocent que Kadhafi et a remplit les rues de tous les pays développés de junkies comme Toxiic Punk, prêt à vendre leur parents pour une dose !"

"Je sais déjà ça merci, mais il a changé depuis son séjour en prison."

Cette fois-ci, c'est The Player qui se mit à rire, redonnant à l'interviewer sa mine des mauvais jours. Après quelques instants d'une rigolade bruyante, le lutteur reprit :

"Sous prétexte qu'il fourre sa langue dans le cul des fans et des autres lutteurs, tout le monde l'acclame et prend sa défense. Mais vous êtes tous trop stupide pour voir qu'il vous manipule. Mais ça ne m'étonne pas vraiment, vous savez, si Hannibal Lecter vous léchait les pieds, vous l'acclameriez autant qu'Oliviera."

"Arrêtez de dire des conneries, Dorado !" S'exclama Balthazar. "Tout ça parce qu'il a osé vous taquiner avec votre mère."

"Mais je me fiche de ce qu'il a pu faire avec ma mère. Elle est assez grande pour se défendre toute seule ou pour prendre du bon temps si elle en a envie. Il a juste voulu me montrer qu'il était capable d'atteindre ma famille quand il le voulait. Une méthode qui prouve bien à quel point il n'a pas changé, qu'il n'est toujours qu'un baron de la drogue sanguinaire. Eh Nelson, si tu veux continuer à jouer à ça, je peux même te donner l'adresse de mes deux ex-femmes, ça me fera toujours des pensions alimentaires en moins à payer."

"Au risque de vous contredire, monsieur." Fit alors Washington."Ce sont elles qui doivent vous payer une pension alimentaire."

"Ah oui c'est vrai que j'avais réussit ce coup là ! Je suis décidément trop bon..."

Tout à coup, la fameuse chanson d'Elvis Presley, Viva Las Vegas, résonna dans la suite. La mélodie venait de la poche du costume de l'avocat. Il en sortit alors un iPhone et y répondit immédiatement pendant que Dorado saisit un cigare sur son bureau. Au bout de quelques secondes, Washington tendit le portable à son patron en déclarant :

"C'est monsieur Cardoza, monsieur."

"Passe-le moi." Répondit The Player en se raclant la gorge. "Monsieur Cardoza...fait toujours aussi beau chez vous en Colombie ?...Alors vous avez trouvé ce que vous cherchiez ?... Un lance-flamme dans son garage ?...Effectivement, il n'y est pas allé de main morte... Vous l'avez bien vu à la télé, non, il est passé de personne respecté à petit merdeux qui baisse son froc devant le public et la direction...Vous vengez sur ses voitures ? Ma foi, je vous empêcherai bien mais je ne peux pas appeler la police Colombienne, je n'est pas les appels illimités vers votre pays...oui, moi aussi je dois vous laisser...Amusez-vous bien...C'est ça, au revoir et mes amitiés à votre dame."

Tout en raccrochant, El Dorado regarda vers le ciel en se frappant le torse à plusieurs reprises :

"Alors Nelson, tu crois être le seul a avoir du pouvoir ? On va bien se marrer."

"Attendez une minute." Réfléchit Balthazar. "Cardoza, ce n'est pas le nom du plus grand parrain de la drogue Colombien ? Qu'est ce que vous lui avez dit à propos de Nelson ?"

"Il n'a jamais été prouvé que monsieur Cardoza était un trafiquant de drogue. Pour moi, il ne s'agit juste d'un agriculteur qui a vu quelques hectares de ses plantations brûlées il y a peu. Il semblerait qu'il ait retrouvé un lance-flamme dans un garage du grand manoir d'Oliveira. Sûrement un excès de violence de votre criminel si vous voulez mon avis."

"Espèce d'enfoiré !"

"Je sais et j'en suis fier. C'est d'ailleurs ce qui fait de moi un meilleur homme que mon "partenaire". Ce qui fait aussi que mon plan concernant ce cher Nelson est sur la bonne voie. Sur ce je dois y aller, si vous voulez bien m'excuser Balt."

Dorado se leva tandis que Georges attrapa un sac de sport. Les deux hommes se dirigèrent ensuite vers la sortie de la suite avant d'être interrompu par l'interviewer :

"Attendez ! De quel plan parlez-vous ?"

"Allez, dépêchons-nous Washington, faut que j'aille m'entraîner à briser des dos."

Juste avant de quitter la pièce, The Player leva sa main avec le cigare et brisa ce dernier. Il sortit ensuite, fermant la porte derrière lui et laissant Balthazar grommeler dans son coin. L'interviewer se dirigea à son tour vers la sortie quand, soudain, la porte s'ouvrit sur Dorado qui dit avec un grand sourire :

"VIVA LAS VEGAS !!"
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PostSubject: Re: Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix   Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix Icon_minitimeFri 15 Apr - 15:48

La caméra s’alluma de nouveau dans la suite luxueuse du Backstabbing Master, El Dorado. Assis à son bureau, il semblait concentré sur des dossiers. Tout à coup, la porte menant au couloir de l’hôtel s’ouvrit, laissant apparaître une montagne de muscles en costume trois pièces. Il s’agissait de Washington Georges. Tenant une mallette à la main, l’avocat du Player s’approcha de la baie vitrée en déclarant :

"Bonjour, monsieur. Comment allez-vous ?"

"Ça peut aller. Pour quelqu’un qui n’a pas dormi de la nuit pour finir les préparatifs de son plan."

"Vous voulez dire, pour quelqu’un qui s’est fait battre à plat de couture par Azen."

Surpris par cette voix familière, Dorado sursauta et regarda en direction du couloir. Il découvrit alors Balthazar McGowne debout sur le pas de sa porte. Il avait le sourire aux lèvres, ne se cachant son plaisir d’avoir vu The Player perdre à Implosion. Tranquillement, le lutteur de Las Vegas se leva. Il traversa toute la salle richement décorée pour se retrouver face à face avec l’interviewer de la BWS. Rendant son sourire au journaliste, El Dorado demanda :

"Que puis-je faire pour vous mon cher Balt’ ?"

"Et bien vous pourriez répondre à quelques unes de mes question à propos de votre déf…"

Soudain, The Player ferma la porte au nez de son interlocuteur d’un geste violent. Au bruit sourd accompagnant le claquement de la porte, Balthazar avait du sentir son nez rentrer brusquement dans son visage. Alors que des jurons étouffés par la cloison se faisait entendre, Dorado sourit de nouveau, rouvrit la porte et fixa un interviewer se tenant le nez :

"Pardon, vous disiez ?"

"Crénom, espèce de…"

Pour la seconde fois, The Backstabbing Master referma brutalement la porte, l’envoyant de nouveau dans le nez du journaliste. Il verrouilla ensuite la porte, se retourna et se dirigea vers son bureau en fredonnant la célèbre chanson Viva Las Vegas d’Elvis Presley. Il couvrait ainsi le vacarme d’un Balthazar tambourinant à la porte. The Player s’arrêta ensuite devant son immense baie vitrée et dit en admirant les lumières de la ville :

"Washington, veuillez appeler la sécurité de l’hôtel. Dites-leur qu’un ivrogne écossais s’est échappé de sa cabane de jardinier."

"C’est déjà fait, monsieur." Répondit l’avocat en raccrochant son téléphone portable.

"Très bien. Je vais aller faire un petit somme. Les dossiers que vous cherchiez sont sur la table."

"Merci monsieur. Dois-je en conclure que vous avez terminé d’élaborer votre plan concernant la BWS ?"

"En effet, et je ne suis pas peu fier de moi. La boule de billard, le junkie et, bien sûr, ma petite marionnette colombienne vont l’adorer. Il est digne d’un scénario mit au point par le plus ultime des opportunistes."

Dorado leva alors les yeux au ciel et frappa plusieurs fois son torse à l’emplacement du cœur :

"Bonne route cher Canadien, compte sur moi pour perpétuer la traditions des traîtrises et coups tordus."

"J’imagine que vous n’avez pas mit votre mère au courant de ce qui va se passer ?"

"Bien sûr que non. Autant qu’elle profite pleinement de son gigolo du cartel avant qu’il ne puisse plus marcher."

Washington se mit alors à sourire d’un air inquiétant :

"Quel mauvais fils vous faites."

"Je sais. Mais ça doit être la première fois de ma vie que je vais être fier d’être un mauvais fils. Après tout, voir un hypocrite réduit en miettes et révéler à la face du monde comme étant l’être malsain et faible qu’il est, ça vaut toutes les larmes d’une mère. Et si, en plus, une équipe composée d’abrutis trop drogués et trop naïfs vient à se faire annihiler, ça sera la cerise le gâteau du vice et de la malhonnêteté."

Les deux hommes se mirent alors à ricaner. The Player sortit ensuite un cigare de la poche intérieur de sa veste et en huma le doux parfum :

"Première étape, Bound For Revenge ! Là où la magie de la triche va opérer ! Là où l’arnaque posera une nouvelle pierre sur mon chemin vers le pouvoir ! Là où le grand El Dorado aura encore frapper à coup de Low low et de fourchettes dans les yeux ! Là où beaucoup, beaucoup, beaucoup de dos…seront…brisés !"

Le Backstabbing master brisa alors son cigare d’une seule main tout en se lançant dans un rire maléfique. Il s’écria ensuite avec enthousiasme :

"VIVA LAS VEGAS !!!"
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PostSubject: Re: Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix   Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix Icon_minitimeMon 25 Apr - 19:02

Assis sur un banc en velours rouge, Shigery Gadzilla, interviewer nippon de la BWS, attendait dans un hall magnifiquement décoré. Il semblait quelque peu nerveux et avait de quoi l’être. Il était venu dans un hôtel grand luxe pour remplacer son collègue, Balthazar McGowne, pour interroger un lutteur de la fédération française. Un lutteur qui, énervé par une défaite lors d’un show hebdomadaire, avait brisé le nez de McGowne. Pour éviter que son collègue n’aille se venger, Shigery avait été désigné pour faire l’interview. Malheureusement pour le journaliste nippon, le lutteur en question avait de nouveau perdu, mais en PPV cette fois. De plus, son titre de champion lui avait été retiré. Rien de bien réjouissant pour l’interviewer. Ainsi, quand le fameux lutteur passa devant lui, habillé d’un costume blanc, d’un chapeau de la même teinte, d’une chemise jaune pâle et d’une paire de lunette de soleil à monture dorée, le reporter se racla la gorge avant de l’interpeler :

"Euh…monsieur ? Monsieur El Dorado ? Pourrais-je vous poser une question ?"

Étrangement souriant, The Player se tourna vers le journaliste. Il sembla surpris de voir une tête nouvelle et le fit remarquer :

"Tiens, Balt’ n’est pas là ?"

"Vous voulez dire, monsieur McGowne ? La direction a préféré l’éloigner de vous un petit moment le temps que sa haine envers vous ce soit calmé. Je suis Shigery Gadzilla son remplaçant."

"Je vois. C’est dommage, je tenais à m’excuser pour la dernière fois. J’ai dépassé les bornes et manqué de professionnalisme. Je lui demande donc pardon et lui assure que ça n’arrivera plus."

"C’est vrai ?" Demanda l’interviewer, visiblement surpris.

"Bien sûr que non, ce n’est pas vrai."

Dorado éclata de rire. Il regarda ensuite le plafond du hall et se tapa le torse à plusieurs reprises en déclarant :

"Je suis décidément le roi…que dis-je…l’empereur des menteurs ! Ha ! Ha ! Ha !"

"En effet, vous m’avez bien eu, monsieur." Sourit le journaliste légèrement crispé. "Puis-je vous poser quelques questions ?"

"Faites donc."

"À Bound or Revenge, vous avez trahi votre partenaire, Nelson Oliveira, et fait perdre le titre Dual Squad à votre équipe. Puis-je vous demander pourquoi ?"

"Tout simplement parce que je n’en avais plus besoin."

"Des titres ?"

"Des titres et de mon pantin colombien." Précisa Dorado en récupérant un cigare dans la poche intérieur de sa veste. "Voyez-vous, je suis officiellement le tout premier champion de cette fédération. Pas besoin d’un long règne car tout le monde se souviendra seulement que j’ai eut une ceinture autour de ma taille avant cette poche à bière de Fitzgerald et ce moine défroqué de Torstin. Quand vous ouvrirez les livres d’histoire de cette fédération, le premier nom que vous verrez à la case liste des champions ne sera pas le leur, mais le mien !"

"Enfin, le votre et celui de Nelson Oliveira."

Soudain, The Backstabbing Master se mit de nouveau à rire. Il dit ensuite :

"Quelle naïveté, cher ami. Ne vous ai-je pas assez prouvé que j’étais le seul véritable leader de cette tag team ? Je nous ai qualifiés pour la finale qui nous a couronnés ! J’ai dirigé ce meurtrier sans cervelle de Nelson à chacun de nos matchs, avec succès ! Enfin, j’ai décidé de mettre fin à notre entente et notre règne à Bound for Revenge !"

"Mettre fin à votre entente ? Mais vous avez un rematch pour les titres Dual Squad dés demain !"

"Ah bon ? Quel dommage pour le petit Nelson. Au moins les deux autres ingrats de Toxic Fear pourront réussir à conserver au moins une fois leur titre. Les pauvres, ils sont tellement mauvais qu’une équipe à peine crée le donnerai des problèmes. Surtout avec un type aussi peu talentueux et obsédé par les fellations qu’Azen. Avec ce qui se passera demain, ils auront au moins une défense réussit pour leur règne. Ils devraient me remercier pour tous les cadeaux que je leur fait."

"Attendez, mais qu’allez-vous faire demain ?"

"Dès demain, je continuerai mon voyage vers le sommet de cette fédération. Ma prochaine étape est d’éradiquer le pantin que la direction m’a mit dans les pattes, ce cher Nelson."
Répondit Dorado en se tourna vers la caméra. "Tu entends gamin, maintenant c’est officiel, nous sommes en guerre. Alors tu peux t’en prendre à ma mère si tu veux ! Tu peux nous montrer à quel point tu es impitoyable, cruel, meurtrier ! Tu peux enfin montrer à tes fans quel hypocrite tu es réellement ! Que derrière ta façade d’homme honorable se cache un assassin sans foi ni loi ! Que tu es prêt à torturer l’une de tes groupies enceinte de toi juste pour arriver à tes fins ! De mon côté, je continuerai à faire se que je fais le mieux ! Mentir, tricher, manipuler, trahir et…briser des dos !"

Sur ces mots, The Player montra le cigare qui avec dans la main et le cassa en deux. Il jeta les restes par terre avant de conclure :

"VIVA LAS VEGAS !"
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PostSubject: Re: Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix   Pendant ce temps là, dans une suite hors de prix Icon_minitimeMon 2 May - 18:53

Nous revoici dans la superbe suite de...non, attendez...C'est une salle de gym. Mais oui ! La caméra s'est allumé dans une salle de gym et pas une pour ivrogne avide de donuts. C'est une salle remplie d'instruments de musculation de grande qualité, des écrans plats sur tous les murs et des serveuses aux mensurations de rêves servant les clients entre deux exercices. En parlant d'exercices, un homme semble faire impression autour de lui. Il s'agit d'une véritable armoire à glace à la chevelure blonde comme les prés entrain d'enchaîner les développer coucher sous les yeux émerveiller de plusieurs jeunes femmes. L'une d'entre elle, assise à côté de l'athlète, compte avec assiduités :

"497, 498, 499 et 500 ! Bravo monsieur Georges ! Quelle force ! Quelle endurance !"

"Merci beaucoup, mademoiselle. Appelez-moi Washington." Répondit l'intéressé en se relevant et en prenant une bouteille d'eau énergétique. "Si vous le souhaitez, je pourrais vous montrez une autre facette de mon endurance. Tenez, voici ma carte."

Tout en reprenant son souffle, l'homme se rapproche de la jeune femme souriante et lui glisse ses coordonné dans la ceinture de son shorty. Puis, il salut ses admiratrices avant de se diriger vers le bar de la salle. Il y rejoint un homme en costume chic blanc qui discute avec la barmaid. Il s'agit d'un lutteur de la BWS, The Player, El Dorado. Washington s'assit alors à côté de lui et commande un jus de goyave. The Backstabbing Master lui dit alors :

"Belle performance Washington ! Je vois que tes années à Harvard t'auront au moins apprit à lever des demoiselles ne sachant pas compter."

"Merci du compliment, monsieur." Répond l'avocat en regardant la jeune femme en question. "Vous devriez vous faire quelques exercices. Le matériel de cette salle est tout simplement magnifique."

"Que crois-tu, mon bon ? Que j'ai l'habitude de rouler dans la farine les gérants de petites salles minables ?"

"C'est vrai que vous avez fait fort pour nous avoir des carte de membre VIP de ce club prestigieux. Comment vous êtes-vous débrouiller ?"

"Tout simplement en étant moi-même..."

El Dorado regarde alors en l'air et frappe son torse à plusieurs reprises. Il finit ensuite sa phrase :

"...Un putain de génie."

"Plus sérieusement, monsieur. Vous devriez faire quelques exercices pour vous préparer pour le prochain Implosion."

"Ne t'en fais pas pour ça, je suis assez préparé. Pour preuve, la semaine dernière, j'ai tenu tête, non mieux encore, faillit battre les champions Dual Squad en étant tout seul. Si l'autre meurtrier ne m'avait pas interrompu, je serai devenu le seul et unique two time Dual Squad Champion."

"En parlant d'Oliviera, il semble décidé à vous payer votre traîtrise au prix fort."

"Évidemment qu'il m'en veut toujours. Il m'en veut d'avoir été le leader de notre équipe. Il m'en veux parce que je suis plus intelligent, plus fort, plus talentueux, bref, d'être tout simplement meilleur que lui. Donc, comme tout ancien baron de la drogue dont le cerveau à été bouffé par les merdes qu'il vendait, il ne va pas arrêter de vouloir me faire payer jusqu'à ce que je meurt...ou qu'il fasse une overdose d'hypocrisie."

La barmaid revient alors avec le jus de Goyave pour Washington et un cocktail sans alcool (oui, nous sommes dans une salle de sport après tout) pour Dorado. The Player en boit une gorgée, sort un cigare de la poche intérieur de sa veste et reprend :

"Non mais tu l'as entendu ce sale criminel ?! Me menaçant presque de mort ! Je suis sûr que tous ses abrutis de fans ont sauté de joie en entendant ça."
Il imite alors la voix d'un homme saoul."Ouais, Nelson est il trop fort, s'il v'nait dans ma maison pour tuer mes gosses, je s'rai trop content gros !" Il reprend son timbre de voix habituel. "Non mais sérieusement, les gens sont vraiment d'une stupidité sans noms. Ils préfèrent adorer un meurtrier comme Oliveira, un drogué comme Punk plutôt qu'un type pieux comme Torstin ou un homme aussi honnête que moi."

Washington pouffe :

"Vous ? Honnête ?"

"Oui, je suis honnête. Après tout, j'annonce d'entrée de jeu que je vais mentir, manipuler et tricher. j'annonce la couleur d'entrée de jeu."

"Ah oui ! Là c'est vrai."

"Je ne suis pas comme ce menteur de Nelson qui parle de respect, de confiant, et d'honneur alors qu'il a passé toute sa vie à tuer des innocents, à torturer des gens, à trahir ses supérieurs et à vendre du poison pour se faire du fric ! En plus de ça, il est stupide ! Il n'a même pas prévu que je le trahirai alors qu'il savait très bien que ça arriverait. C'est à se demander comment il a fait pour devenir Baron de la drogue."

"N'empêche, monsieur. Il semble sur-motivé et veux vous faire souffrir. Vous ne voulez pas que j'appelle quelques uns de mes anciens clients qui me doivent un service ?"

"Voyons, Washington. Tu sais très bien que non. Tu sais que j'ai un plan en cours. Tu sais qu'il s'est déroulé comme prévu à Bound for Revenge et qu'il emprunte la bonne voie pour la suite. Aussi rancunier que soit Nelson, il n'est qu'une étape dans ma stratégie, qu'une marche vers le pouvoir, qu'un dos de plus que je vais me faire un plaisir de briser ! LAS VEGAS STYLE !!"

Dorado brise alors son cigare en deux et jette les restes dans son verre avant de partir...sans payer l'addition, bien sûr.
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