Gestcrapaud
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 La Colombie.

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Nelson Oliveira
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Nelson Oliveira


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PostSubject: La Colombie.   La Colombie. Icon_minitimeSun 13 Feb - 16:48

Une villa a l’ambiance tropicale. Nous sommes dans une mezzanines tout de bois blanc tapissé. Il y a une lègére fumée qui plane dans l’espace, et une forte odeur de tabac Cubain . On entend des cris de perroquets, et le soleil baigne la pièce d’une douce chaleur. Un homme est assit sur un grand fauteuil en osier, tient un cigare dans sa main droite. Il sirote délicatement un verre de scotch ambroisée. Un gros rire se fait entendre, et l’homme prend enfin la parole.

???: L’alcool, les cigares, la vie idéales. Il est rare de trouver meilleures occupations de ses journées quand on a tout vécus. Personne ne me connais, et pourtant, j’étais l’une des personnes les plus recherché dans les années 80. Mon nom suffisait a effrayer tout un peuple. Aujourd’hui encore, en Colombie, Oliveira est le nom d’une malédiction. Est je mérité ce traitement ? Oui. Est-ce que je regrette ma vie passée ? Certainement pas. Mes actions m’ont forgés. Ils m’ont appris a être qui je suis, un homme fort et sans prétention. Certes, je n’ai pas toujours été comme ça.

Nelson se lève, écrase son cul de cigare, et va cherché un autre Cubains. Il va également se resservir un pur Maltais. Dans la pièce, des photos de lui, avec des grandes personnalités ornent les murs. Ils passe a côté, les regardent avec nostalgie, et va s’asseoir dans un autre fauteuil, celui-ci, en velour.

Nelson Oliveira : Ma vie a été pleine et riche. Jamais, en une seule semaine, en un seul jour, je ne me serais ennuyer dans mon existance. La vie de Baron est excitante. Tu connais du monde, tu te fais des contacts, tu te fais des ennemis. C’est cause de ça, que je me suis retrouvé le bec dans l’eau. Au milieu des années 90, jamais aucun Narco Trafiquant n’avais autant la cote que moi. Tout le monde me respectaient, me demandaient mon avis. Et puis un jours.

Nelson regarde le gros titre d’une coupure de presse de Juin 1996. On peut apercevoir un homme Afro-Américain du commando d’élite des forces anti-stupéfiants. Il ressemble étrangement a quelqu’un de la compagnie.

Nelson Oliveira : Mon plus vieil adversaire …. Jonas McDonald. Les rancœurs envers cet Hommes étaient fortes à l’époque. Il m’a traqué sans relache pendant près de 15 ans. Il a fait de mes dernières heures au sommet de la chaine alimentaire, un veritable enfer. J’étais comme un animal, a force, je suis devenu paranoïaque. Le jour ou, après une descente du SWAT, mon Cartel s’est fait démantelé, j’ai vu le visage de Jonas. On s’est longuement regardé. Je lui ai alors tendu mes poignets, et il m’a passé les menottes. Ce moment m’a fait réaliser que je n’étais plus rien, que j’étais redevenu mortel. Je ne tutoyais plus les dieux. Je suis revenu au même niveau que tout le monde. Mais après. J’ai appelé cette époque, la rédemption.

Oliveira ressort son ancien numéro 234329, brassard qu’il portait en prison. Il est encore maculé de sang, et le Colombien le regarde, les larmes aux yeux.

Nelson : Je n’étais qu’un numéros. Les premiers jours, je pensais au suicide tellement, je ne me sentait pas a ma place, au milieu de ce bas fond, a naviguer au milieu des déchets de l’humanitée. Ma vie se résumerait donc à ça … Un des concierges de la prison m’avais de suite remarqué. Je n’étais pas comme les autres. J’étais plus imposant, et quelque chose de puissant se dégageait de moi. Quelque chose de surnaturel. Ce vieil homme m’a demandé si j’avais déjà lutter, bien sur, je n’avais une connaissance que livresque de la lutte. Il m’a alors obligé a grimper sur un ring, a m’entrainer dur, et a prouver que j’étais quelqu’un de biens. 12 ans plus tards, grace a l’aide du concierge et de Jésus, j’avais enfin reçu mon ticket pour la liberté. Ma première respiration d’air frais me brulais les narines. Libéré, je ne savais plus quoi faire. La vie a tellement changé, que mes aptitudes d’anciens bandits repentits ne me serviraient plus a rien.

Nelson se lève, cigare en bouche, il se gratte la barbe, et ouvre une grande malle en chène. Il sort alors un masque doré. Un ancien masque de lucadors !

Nelson Oliveira : Tout le monde me connaissaient et me haïssaient, ma voie vers la rédemption se trouvait vers la lutte Colombienne. Ce masque représente toute ma vie. Il m’a permis de briller au plus haut niveau, sans jamais subir d’humiliation, comme a pu m’en faire subir McDonald. J’ai redonné les lettres de noblesse a ce sport, qui en avait tant besoin. J’ai été le visage d’un pays. J’ai été celui que tout le monde respectais, alors que par le passé, tout le monde me craignaient. Cette sensation nouvelle m’a fais comprendre que semé la terreur autour de sois est beaucoup moins gratifiant que d’offrir du bonheur au gens. Aujourd’hui encore, je me demande ce qu’aurait été ma vie sans Jonas.

Oliveira, toujours près de la malle, sort une lettre manuscrite, signé J.MD.

Nelson : Tu sais, quand tu as tout gagné, le challenge se perd. Je ne veux pas me lasser de la lutte, je veux vivre encore ces moment de purs euphories et de grande frustration. C’est ça la magie de la lutte. Personne ne dira le contraire. Cette lettre m’a permis de comprendre que je pouvais enfin me libérer de ce masque, qu’on ne me reprochera plus rien. J’ai eu quelques appréhensions a venir en France, mais aujourd’hui, plus que jamais, je suis prêt. Mais n’oubliez jamais.

Nelson fait tourner ses glaçons dans son verre, et avale le reste de la boisson d’un trait.

Nelson : La vie est quelque chose de versatile. Il faut en profiter, sans prétention. Il ne faut jamais oublier d’où l’on vient, car la clé de la réussite, c’est de rester humble.

Je ne vais pas faire davantage de discours « d’anciens », je vais simplement … vous mettre en garde de mon arrivée.

Nelson caresse son perroquet, écrase son cigare, et sort de la pièce.
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PostSubject: Re: La Colombie.   La Colombie. Icon_minitimeThu 17 Mar - 21:31

Une fumée blanche apparait. Un cigare commence a se dessiner dans la brume oppaque. On n’apperçoit la tête du barreau, rougir sous les aspirations incessantes. Une main, plutôt virile, orner de deux bagues argentés fait tourner le cubain de droite a gauche. L’autre main de l’homme caresse une ceinture qu’on apperçoit a peine. La seul chose vraiment visible est la petite plaque en or, avec une petite inscription de graver « Nelson Oliveira ». La caméra descend maintenant, et le Colombien, habillé en costard blanc et en mocassin se déplace désormais dans une grande salle ouverte au jour. Un canapé en velour se tient devant nous, et Nelson, fier et droit, va s’asseoir sur ce magnifique sofa. Le Colombien sourit, mais son visage ne respire pas la sérénité, on ressent la fatigue, et l’usure de ce long mois de combat et d’incompréhension.

Nelson Oliveira : Comme je le dis si bien, le destin nous appartient. Mais dès lors que quelqu’un décide pour vous, rien ne va plus. C’est ce qu’il s’est passé récemment. Bilal Asil aidé de Jeffrey O’Connor ont décidés de former des équipes pour les Tag Team Championship. Cette idée était vraiment réfléchie, et je dois vous dire que cela ne m’a pas plus. Pourquoi moi, Nelson Oliveira, lutteur du premier Main Event de la BWS, devrait partager l’affiche avec l’un des perdants du tournoi. Ma route devait se faire en solo, tel mes aïeux l’auraient voulus. Je ne suis pas comme tout le monde. Je suis quelqu’un qui dégage de l’assurance, ainsi qu’une dose d’autoritée. Malgré tout, ma vie a basculée en quelque sorte.

Le Baron fixe une affiche qu’il a placarder dans sa salle d’entrainement personnelle. C’est une image de El Dorado se prenant le tombé du Ultimo Colombian.

Nelson Oliveira : En voila un que je voulais éviter. Non pas qu’il me fasse peur. Mais que je ne voulais rien a avoir en commun avec lui. Preuve de son côté mégalo-timbré. Matthew Duke m’avait invité pour son célébre Lazy Tuesday. Un moment de pur détente entre deux amis qui voulait partager des souvenirs en commun. Alors que le spectacle allait atteindre son apogée, ce personnage abject que El Dorado s’est permit d’interrompre MON MOMENT ! Si il ne s’était tenu qu’a rester près de moi, et me laisser finir, ça serait passer sans incident. Mais il s’est autoriser a me manquer de respect, a manquer de respect a mon public ! Certes, tu m’a l’air troublé, quelque chose de vide en toi. Cela ne doit pas être simple d’être haïs par tout le monde. Tu veux quoi ? Qu’on s’intéresse a toi ? Tu veux petre dans ma lumière ? Dans la lumière qui ferais de toi un champion ? La seul chose que tu as compris ce soir la, c’est que tu n’est pas le maillon fort, que tu dois te contenter de jouer le second rôle dans notre équipe ! Tu as du te sentir fin en sentant ma masse s’effondre dur toi, pour gagner le compte de 3. Chaque coup de paume sur le plancher, était une épée qui transperçait ton égo surdimensionné.

Nelson se dirige vers son écran géant, prend une poignée de noix de Macadamia, caresse son perroquet, et lance une vidéo du premier match par équipe des Doradoliveira.

A ce moment la, je me suis dis qu’aucun miracle ne pourrait nous sortir de ce guépier. Tu ne m’étais d’aucun aide, et j’ai galérer comme un lama pour m’en sortir. Tu as voulus la jouer perso, et tu as atteint un palier encore plus médiocre dans mon héstime. Pour moi, la collaboration allait s’arrêter assez rapidement,et je n’aurais plus jamais a me soucier de toi. Mais encore une fois, le destin en a décider autrement, et nous avons réussit a nous qualifier pour le la final du tournoi par équipe. Qui plus es, pour devenir peut être, les nouveaux Dual Sqaud Champions.

Le PPV passe a présent sur les écrans de la salle de sport. Les hauts parleurs au volume sonore le plus haut, les commentateurs hurlent le nom de Nelson Oliveira et El Dorado. La poignée de main a été filmé en gros plan, mais une certaine crispation se lit sur le visage du Colombien, ainsi que sur celui du Player !

Hum … Voila l’exemple typique de ce que je ne pensais jamais faire de ma carrière. Je ne sers pas la main aux personnes que je ne peux pas encadrer. Certes, il y a eu un semblant de cohésion entre moi et le lascar, mais ne vous faites pas d’illusion, je voulais ces ceintures, et pour rien au monde, je ne me les serrais fais volé par une équipe aussi bas de gamme que la Toxiic Fear. Je voulais donner l’illusion d’une entente, pour que les gens retiennent que les premiers champions n’étaient pas des chiffonier mais une « coallition », une sorte d’entente signé entre deux personnes. Je veux clarifier les choses. Je ne pencherais pas du mauvais côté, je ne deviendrais pas une ordure comme Dorado. Maintenant, si il m’entend, j’espère qu’il laissera sa fierté de côté, et qu’il « jouera le jeu » pour que tout les deux, nous sortions grandit de cette aventure.

Le grand Colombien, brise son cigare dans sa main, et sert un grand verre d’eau minéral, directement des sources de Bogota.

Dorado, joue la correctement, et tout se passera bien. Essaye de me doubler, et ta vie sera un enfer.

Nelson Oliveira quitte la salle de sport, et des volets mécaniques cachent le soleil. La salle est plongée dans le noir.
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PostSubject: Re: La Colombie.   La Colombie. Icon_minitimeWed 27 Apr - 20:49

Des bruits électroniques, des alarmes, des éclats de rires, de joies. Des pièces résonnent en claquant la coupole mise en place à cet effet. Des filles, toutes plus siliconés les unes que les autres déambules entre joueur compulsif, accroc aux cartes, ou néophytes du genre. L’odeur du tabac à prisé et du parfum de l’excitation domine les lieux. Nous sommes au « Player Vegas », un des casinos réputé du Nevada. La visite des lieux continue, mais un attroupement de fan hystérique retient notre attention. Un grand homme, typé Sud-Américain, vêtu d’un costard cravate anthracite, et de belle lunette marqué Ray Ban marche d’un pas assuré, entre les personnes qui veulent absolument se tenir près de lui. Celui-ci sourit, signe quelques autographes, se laisse prendre en photo, et frappe dans certaines mains tendus. Mais pas pour longtemps, puisque le centre d’intérêt momentané de l’établissement, s’engouffre dans une salle. Les portes battante se referme sur l’homme, et on peut lire « V.I.P ». Un long couloir, éclairé par de simples petites guirlandes, guident notre homme mystère vers un grand bureau richement décoré. Le Sud-Américain arrive dans la pièce, referme la grande porte en marbre, ôte son haut de costard, et pose délicatement ses lunettes sur une commode contemporaine. Il s’avance vers un grand buffet, contenant des alcools et liqueurs en tout genre. Il se sert un vert de curaçao anisé, allume le 45 tours sur un morceau de jazz et va s’asseoir dans un grand fauteuil de cuir, en soufflant un bon coup. C’est à ce moment-là qu’un grincement vient perturber l’ambiance détendue de la salle. Une belle femme d’un certain âge sort de la salle d’eau. Elle est en lingerie fine. L’homme n’en rate pas une miette.

???: Mr. Oliveira, vous êtes un mauvais garçon, je vais devoir vous donnez une bonne leçon.

Nelson Oliveira : Mme Dorado, je n’attends que ça ! Venez me voir, je crois que votre porte jarretelle n’est pas bien attachée …

Nelson Oliveira se lève et se saisit de son interlocutrices, il l’attrape, et la plaque contre le mur. Il lui embrasse le cou, et la femme gémit.

Mme Dorado : Nelson, tu es incorrigible …

Nelson Oliveira : Linda, que tu es belle ce soir, je ne vais faire qu’une bouchée de toi !

Le Baron prend sa partenaire, commence à la tirer vers le lit, mais une vibration vient trahir l’ambiance éléctrique de la soirée. C’est le portable de Mme Dorado qui sonne. Nelson semble dépité et se jette sur le lit, mettant ses mains sur sa figure.

Mme Dorado : Désolé mon lapin … Linda Dorado j’écoute ? …. Oui mon chérie, qu’est-ce qu’il y a ? …. Ou est Nelson ? Bah, il est avec … Ah, tu t’en fous en fait. … Oui, j’ai vu le match de Pay Per View.

Nelson se relève brutalement, et essaye d’écouter la voix de son ancien partenaire de ring. Il penche l’oreil.

Mme Dorado : Non, non non non, je n’ai pas du tout aimé ce que tu lui à fais ! Quelle idée tu as eu ! Trahir ton partenaire ! … Ce n’est pas « qu’un bâtard » ! Il est respectueux et très doux. … Oui, il est avec moi en ce moment et … Non, nous n’avons pas couché ensemble … Oui, il m’a déjà touché mais … Ok, je te la passe.

Le Colombien sourit, et se saisit du téléphone.

Nelson Oliveira : Allô Allô, Nelson à l’appareil.

El Dorado : Alors, tu t’amuses bien avec ma mêre ?

Nelson Oliveira : Pour être franc, t’as un peu cassé l’ambiance … Mais c’est pas grave, on se rattrapera !

El Dorado : Ah ah ah … Tu fais ce que tu veux avec ma mère. Tout ce que je sais, c’est que je t’ai humilié devant le monde entier lors de Bound for Revenge !

Nelson Oliveira : Je t’ai humilié à Implosion … Maintenant, je n’ai qu’une chose à te dire… La guerre est déclarée.

El Dorado : Oui mon petit Nelson, la …

Le Player n’a pas eu le temps de finir sa phrase, que Nelson raccrocha le téléphone. Il en profite pour l’éteindre complétement.

Mme Dorado : Je suis désolé. Mon fils est une vraie tête de mule quand il s’y met. Mais au fond, c’est un bon enfant.

Nelson se met à rire.

Nelson Oliveira : Un bon enfant qui m’a couté les ceintures !

Mme Dorado : Tu n’a pas fais grand-chose pour les récupérer non plus ! Tu as également volé mon fils !

Nelson Oliveira : Simple vengeance Linda. N’oublies pas que je suis quelqu’un de très rancunier. J’ai déjà tué par rancune. C’était il y a fort longtemps, dans les contrées Colombienne. Je devais venir inspecté une de mes plantation de pavot. Mais ce n’était pas comme d’habitude. Je remarquais que la moitié de mes chiens de gardes avaient reçu des balles et que l’autres motié avait disparue. Dans ma fabrique, tout avait été mis sans dessus dessous. Des plans de conception, jusqu’à nos avancées technologique, il ne restait plus rien. Je n’avais que peu d’indice. Finalement, au bout d’une dizaine d’années, j’avais compris que le nouveau produit commercialisé par Cardoza, l’un de mes concurrents, ressemblait point par point à ce que notre laboratoire de recherche aurait du commercialisé 10 ans auparavant. La nuit tombé, je me suis aventuré dans la demeure personnelle de mon concurrent. Il était la, face à moi. J’était armé d’un silencieux, et lui ai dit « Cardozo, chaque vol t’éloigne le plus de ton but. Ce but étant d’accéder au graal suprême. Malheureusement pour toi, c’est aujourd’hui que ta dynastie s’arrête. ». Une balle entre les deux yeux plus tard, j’avais l’esprit apaisé.

Mme Dorado : Tu ne compte pas tué mon enfant non ???

Nelson Oliveira : Ce n’est pas dans mes plans, mais je vais le faire souffrir, comme il m’a fait souffrir ! Je veux que ton fils se sente traqué comme une bête. Qu’il ne se sente en sécurité nulle part. Certes, je vais me casser les dents, mais lui, va s’y casser la machoire. Tu vois Linda, il ne sera plus jamais à l’abris.

Mme Dorado : Mais c’est ignoble ! Aucun être humain ne mériterais telle sentence !

Le Baron s’allume un Cubain, et semble désintéressé.

Nelson Oliveira : El Dorado n’est pas humain. C’est une vermine. Et chez moi, on extermine la vermine. Je ne peux plus faire confiance à votre fils. C’est une sorte de concurrent Colombien.

Mme Dorado : Ca me désole d’entendre ces mots sortir de la bouche d’une personne d’éxperience telle que vous. Mais enfin, si c’est la vengeance qui vous branche, je ne peux rien faire contre votre volonté.

Nelson tire sur son cigare et une belle fumée blanche envahit la pièce. Il fait tourner les glaçons dans son verre et finit la boisson d’un trait.

Nelson Oliveira : Tu n’as pas compris Linda. J’étais prêt à épauler ton fils, j’étais près à lui servir de coéquipier. Mais il n’en à fait qu’à sa tête. C’est dommage, notre équipe avait du potentiel. Mais la cohabitation à été trop dur. Comment veut tu t’entrainer avec quelqu’un qui passe son temps à essayer de t’arnaquer ou de te piéger. Comment veut tu faire confiance à une personne qui décide de t’abandonner en plein match de championnat ? C’est un tout qui m’a poussé à réclamer vengence. Et je te l’avoue, je me ferais un plaisir de lui en faire baver.

Linda regarde Nelson avec un sentiment de compréhension et d’inquiètude.

Mme Dorado : Quoi qu’il arrive, ne fait pas d’erreur. Mon fils est très dangereux, il profitera de n’importe quelle occasion pour ne faire qu’une bouchée de toi.

Nelson Oliveira : Sauf si je le mange avant !

Le guerrier de Bogota se lève, attrape le corps de sa partenaire, et l’envoie dans le lit. Cette dernière à compris l’invitation et aguiche notre Colombien.

Nelson Oliveira : Il ne faut jamais sous-estimer le pouvoir du Baron !

Nelson se jette sous la couette, et la camèra sort doucement de la pièce, jusqu’à nous faire un gros plan sur e casino, et s’éteindre.
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